Résutats pour votre recherche
Cette supervision est un moment de partage supervisé par un professionnel ou chacun pourra partager ses pratiques, ses difficultés, ses positionnements, son vécu professionnel et identifier des actions à appliquer au travail.
Commencer une nouvelle fonction n’est pas toujours évident, que l’on commence à travailler comme aide familiale ou qu’on devienne tuteur/trice. Au cours de ce module, le tuteur va expérimenter des outils et des méthodes permettant de développer cette confiance en soi.
La posture et les outils de communication pour développer une relation saine, authentique et de confiance, seront également abordés
L’épuisement professionnel ou burn-out est un terme connu de tous. Mais qui est-il vraiment ? Comment le repérer ? Comment y faire face ?
Entre le constat d’un dysfonctionnement et le licenciement d’un travailleur, il n’y a pas qu’un pas …
Tout service connaît à un moment ou à un autre des dysfonctionnements d’ordre individuel et/ou organisationnel. Dysfonctionnements se nourrissant les uns les autres et entraînant parfois des tensions au sein de toute l’équipe. Comment réagir avant de tomber dans une dynamique négative ?
La formation permettra la réflexion sur les causes des dysfonctionnements individuels, le suivi de ces derniers et les possibles réponses (très concrètes) en tenant compte du cadre légal.
L’approche proposée privilégie l’axe des contraintes juridiques, même si l’aspect humain est également développé.
La place de l’assistant social au sein du service d’aide aux familles requiert des compétences multiples et diversifiées. Parmi elles, la maîtrise de la législation et la gestion d’équipe. Le «kit» propose en 5 jours d’introduire les éléments-piliers de la gestion d’équipe (tant au niveau des personnes que du groupe), de passer en revue la législation et les modalités d’inspection relatives au fonctionnement des services d’aide aux familles.
Le kit est conçu comme un tout ; le travailleur social qui s’inscrit participe donc à l’ensemble des thématiques, soit 4,5 journées.
L’absentéisme perturbe le fonctionnement des services et peut également avoir un impact sur l'ambiance de travail et la motivation des collègues. C’est un phénomène multifactoriel dont les causes méritent d'être identifiées en vue de le prévenir et/ou d’apporter des réponses appropriées.
Cette formation est prévue sous la forme suivante : 3 jours en présentiel pour se former à la problématique (9h à 16h30) et 2 demi-journées en virtuel (9h à 12h15) de supervision pour pouvoir intégrer au mieux les acquis dans sa réalité de travail.
La supervision est cet espace de parole qui permet de se poser, de partager, de se rencontrer (soi-même et les autres), de changer son regard,
de développer ses ressources, de lâcher-prise… C’est également parfois l’occasion pour les participants de prendre conscience des attitudes
qui peuvent parfois provoquer l’effet inverse de celui désiré.
La période de crise que nous traversons à parfois amener des tensions supplémentaires au sein des équipes. Initialement destinés au développement personnel, travailler les accords Toltèques en équipe, les pratiquer, peut amener la sérénité nécessaire aux relations constructives.
Les accords Toltèques sont des principes universels et intemporels, issus du bon sens et des traditions.
Au sein d’une même équipe, on retrouve aussi bien de jeunes aides familiales sortant de l’école que des personnes terminant leur carrière.
Les rapports sont parfois très bons, parfois plus compliqués. Qu’est-ce qui différencie les générations ? Qu’est-ce qui les rassemble ? Comment
développer des relations constructives ?
Les intervenants à domicile sont amenés à côtoyer des situations difficiles, parfois même la souffrance. Pour y faire face, il est tentant de faire l’impasse sur ses émotions. Pourtant, ne pas s’écouter, ne pas prendre soin de soi a des impacts autant sur soi que sur la qualité de la relation à l’autre.
Dans la vie professionnelle comme dans la vie quotidienne, pour prendre soin de son dos, il faut rechercher la position qui soulage, éviter les
attitudes et les gestes qui agressent la colonne vertébrale. Mais aussi, réfléchir aux possibilités d’aménager son environnement de manière adéquate.
Les effets du stress ne sont pas uniquement de nature psychologique. Il affecte également la santé physique, le bien-être et la productivité de la personne qui y est soumise.
Deux outils, au choix, peuvent être proposés : la cohérence cardiaque ou les Makko oh.
Le burn-out est fréquemment utilisé et est devenu un concept fourre-tout. À partir de sa définition et de ses spécificités, la formation permettra
de comprendre et d’interroger sur les facteurs le favorisant et surtout sur les manières multiples de le prévenir.
Bien souvent, le maintien à domicile d’une personne âgée dépend de la co-intervention du médecin, de l’aide familiale, infirmière… Le carnet
de liaison permet de faciliter la coordination entre les intervenants. Comment l’utiliser ? Quelles informations transmettre ? De quelle manière ?
Maladresses, provocations, soupirs… Les ratés de la communication sont nombreux. Comment créer un cadre de communication sécurisant et permettant la compréhension mutuelle ?
Je passe du temps chez un bénéficiaire et il n’arrête pas de se plaindre. De tout : du repas, du coût de la vie, du temps… Que dire pour le faire évoluer et surtout comment l’empêcher de nuire à mon propre moral ?
« Faut voir le bon côté des choses… » est une réponse que nous donnons parfois lorsque nous avons une personne triste en face de nous.
Peut-être pas la meilleure. Il est parfois difficile d’entendre les vécus émotionnels douloureux des personnes accompagnées. Pourtant, reconnaître
l’autre, comme il est, avec ce qu’il ressent, est une étape primordiale dans la relation d’aide.
L’assertivité est une qualité centrale dans le travail, que ce soit dans la relation avec les bénéficiaires ou avec ses collègues. Il s’agit d’accepter ce qui est dit sans nécessairement être d’accord et d’exprimer ce que l’on pense tout en respectant ce que pense l’autre.
Comment dire à quelqu’un qu’il ne sent pas bon ? Une question qui paraît simple et qui pourtant pose de vraies difficultés aux travailleurs
sociaux qui ont peur de faire basculer la relation de confiance parfois si fragile.
Les personnes âgées rencontrent souvent des difficultés motrices et sensorielles : diminution de la vue, de l’ouïe, problèmes d’articulation,
faiblesses musculaires. Même si les travailleurs sociaux et les aides familiales sont souvent conscients de ces problèmes, s’en rendre compte
par soi-même permet une meilleure compréhension des conséquences sur les actes de la vie quotidienne.
Le deuil est un moment douloureux où l’on doit s’habituer à l’absence. Il peut s’agir de la mort d’un proche mais aussi de toute situation de perte progressive des capacités physiques ou psychiques.
Les aides familiales sont amenées à intervenir dans des familles avec enfants et à y tenir une mission éducative. Parfois, la demande vient
des parents eux-mêmes. L’aide peut aussi être sollicitée par le SAJ ou le SPJ.
L’alimentation influence notre santé. Mais qu’est-ce que bien manger ? Manger équilibré ? Comment s’y retrouver parmi les nombreuses croyances, les publicités, les messages contradictoires ?
La toilette peut apparaître comme un acte banal pour l’aide familiale parce qu’habituelle pour elle. Pourtant, pour la personne aidée, cela n’a
rien d’anodin et relève de l’intimité profonde. La formation a pour but de revoir ce qui relève du savoir-faire mais aussi de mettre en évidence
et d’aborder cet acte comme porteur de sens.
La Belgique possède un système de sécurité sociale très développé mais parfois difficile à appréhender : qui a droit à la sécurité sociale ? Comment est-elle subventionnée ? Quels risques couvre-t-elle ?
Les aides familiales peuvent être amenées à rencontrer tout type de personnes dans le cadre de leur mission. Des personnes avec un cadre
de référence différent : milieu socio-culturel, religion, origine ethnique, âge, valeurs…
Concrètement, en période de crise sanitaire, les aides familiales peuvent être face à des bénéficiaires ayant un avis opposé à elles sur la question du port du masque, sur la vaccination, …Malgré notre envie de communiquer, la relation peut avoir du mal à s’établir. En cause, l’incompréhension.
Plus la personne est âgée, en mauvaise santé, fragilisée psychologiquement et isolée, plus le risque de maltraitance augmente. Avant tout, que recouvre le terme de maltraitance ? Et puis surtout, pour les travailleurs de terrain, comment reconnaître les signes ? Qui prévenir ? Que dire ?
Comment réagir face à des comportements ou des paroles suicidaires ? À qui demander de l’aide ? Le but de cette formation est de se poser pour réfléchir et fournir des repères aux travailleurs de terrain pour pouvoir faire face plus sereinement quand une telle situation se présente.
Vieillir implique des changements, des adaptations pour les personnes concernées mais aussi pour les accompagnants professionnels. La
formation a pour but de réfléchir aux implications du vieillissement et aux spécificités de l’accompagnement.
En plus des facteurs liés aux changements physiologiques dus à l’âge, il existe d’autres facteurs d’ordres climatiques, sociaux, fonctionnels…
qui favorisent le risque de déshydratation chez la personne âgée. Quels sont les effets de cette déshydratation ? Comment encourager les seniors à boire, même s’ils n’ont pas soif ?
Maladies rhumatismales, cardiovasculaires, hypertension, ostéoporose… sont fréquemment rencontrées chez les personnes âgées. Quelles réalités se cachent derrière ces mots ? Quelles conséquences sur la vie quotidienne ? En tant qu’aide familiale, quel accompagnement mettre
en place ? À quoi être attentif ?
Les comportements des bénéficiaires dépendants à l’alcool, aux médicaments ou à d’autres drogues peuvent être déroutants et mettre l’aide
familiale dans une situation de malaise. Comment réagir ? Avec quelle légitimité ? Quelles sont les limites ?
Les aides familiales sont amenées à rencontrer et accompagner des personnes souffrant de douleurs chroniques. Ces douleurs sont souvent
très invalidantes et ont une incidence parfois importante sur la vie sociale, familiale, personnelle…
Les aides familiales sont parfois amenées à intervenir auprès de personnes en fin de vie. Ces moments peuvent amener une certaine appréhension pour le professionnel. Comment accompagner dans une telle situation ? À quoi être attentif ?
Selon la Fédération internationale du Diabète, 600 000 personnes seraient diabétiques en Belgique. Près de la moitié ignoreraient qu’elles sont
touchées. Comment le détecter ? Comment s’en protéger ? À quoi être attentif dans sa relation à la personne aidée ?
Le but de la formation est de mieux connaître cette maladie, et de mieux comprendre à quoi être attentive en
tant qu’aide familiale.
L’aide familiale passe parfois de nombreuses heures au domicile du bénéficiaire. Comment ne pas devenir dans ces conditions, la confidente,
l’amie ou au contraire faire preuve d’une présence froide pour limiter l’implication ?
« Comment faire comprendre à quelqu’un qu’il doit rentrer en maison de repos, comment le convaincre ? ». Cette question, qui n’est qu’un
exemple, interroge la notion de l’autonomie. Les personnes aidées, âgées ou handicapées sont-elles en mesure d’être autonomes ?
Le but de la formation est de penser et de pouvoir exprimer avec des mots ou des attitudes la spécificité du travail de l’aide familiale par rapport à celui de technicienne de surface mais aussi de s’interroger sur le sens des tâches ménagères dans leurs missions.
La formation a pour but de faire le lien entre le décret et le travail de terrain: ce qui est autorisé ou pas mais aussi la manière de sortir positivement
de ces situations pouvant mettre en difficulté l’aide familiale.
Les équipes d’aide à domicile sont parfois confrontées à des personnes souffrant de troubles mentaux : démences, troubles de l’humeur, de la réalité… Quelles sont les attitudes aidantes ? Quelles sont celles à éviter ? Jusqu’où s’investir ?
Cinq jours de formation pour permettre aux aides familiales expérimentées d’appréhender le tutorat, dispositif qui leur permet d’encadrer un nouveau travailleur en l’accompagnant, en le conseillant et en partageant ses expériences.
Cette formation a la particularité d’être organisée via les Ecoles de Promotion Sociale. Elle est donc soumise à une évaluation et permet d’obtenir, si les résultats sont positifs, une reconnaissance de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
A noter qu’il ne s’agit pas ici de l’encadrement des étudiants en stage.
Le but principal est que les participants puissent disposer en fin de journée, en une page, de l’ensemble des règles à respecter en matière de durée du travail et qu’il en maîtrise chaque élément.